Hier, Ségolène Royal a réuni les membres de son équipe de campagne pour commencer à tirer le bilan de la défaite.
Rythme de campagne, faiblesse des propositions, articulation avec le PS, c'est à une véritable autocritique que se sont livrés ces responsables et la candidate. J'attend avec impatience d'en savoir plus sur cette autopsie. Elle n'aura de sens que si elle permet de lancer des axes de travail pour le futur. Je trouve en tout cas qu'un tel exercice tranche avec l'après 21 avril 2002.
Il reste aujourd'hui à un parti bien mal en point d'en tirer le meilleur bénéfice pour sa rénovation.
Lire la présentation mi-figue mi-raisin qu'en fait Libération.
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