Vendredi, la journée a été consacrée au Conseil Régional avec une session courte et technique. Elle nous a permis de revenir sur certains faits d'actualité, dans une ambiance parfois excessivement polémique de la part de l'opposition.
Jean-Yves Le Drian a évoqué dès le début de la session le succès considérable de la Breizh Touch : "nous voulions montrer l'image d'ue Bretagne renouvelée, jeune et créative, et faire partager cette modernité avec le public, montrer que la Bretagne c'est une alchimie permanente entre enracinement, histoire, innovation et création. Le pari était osé, il a été réussi." Le Président a remercié tous ceux qui ont contribué à l'évènement et annoncé que la nouvelle Maison de la Bretagne, inaugurée le 7 novembre à Montparnasse, poursuivra notre présence dans la capitale.
Face aux critiques de l'opposition, c'est Thierry Burlot, notre Président de Groupe, qui est monté au créneau. "Aux esprits chagrins qui trouvent qu’au final cela a coûté bien cher, je rappellerai que le coût moyen en 2006 d'un spot TV diffusé sur les chaînes nationales s'est élevé à 11 732 Euros et que sa durée moyenne a été de 19,6 secondes… Le coût au regard des retombées médiatiques, s’il ne fallait retenir que ce critère, est plus que raisonnable. En effet, ce sont 29 sujets qui ont été traités par les grandes chaînes et un dimanche après midi de diffusion en direct sur TF1, 28 reportages sur toutes les grandes radios. Côté presse écrite, près de 50 articles. Quant à la presse régionale, on compte plus de 150 articles édités sur la Breizh Touch. Bref, on a parlé bien plus de la Bretagne, et pour un coût moindre, que si nous avions décidé d’acheter des espaces publicitaires télévisés et faire paraître des publireportages".
A bon entendeur !
NB : Bienvenue à Yohann Nédélec, remplaçant de Jean-Jacques Urvoas et benjamin du Conseil Régional, qui participait Vendredi à sa première session.
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