Je n'ai pas été de ceux qui, en France, soutenaient passionnément Obama contre Clinton. Pour moi, l'important était de clore la période Bush, peut importait le candidat Démocrate, sa personnalité ou son style.
Je ne suis pas porté à croire les programmes Démocrates très novateurs. Encore qu'à l'échelle d'un pays-continent, d'infimes changements peuvent provoquer de terribles séismes. Nous en avons le meilleur exemple avec la crise des subprimes, qui est tout autant une crise du crédit, que le signe d'une crise sociale.
Alors, j'ose espérer que la victoire d'Obama sera un de ces changements, qui précèdent et annoncent les bouleversements les plus positifs. Une autre politique étrangère, un autre regard sur le développement et notamment sur celui de l'Afrique, un plus grand respect de l'environnement, une politique sociale pour les Américains, etc.
La période a bien besoin de signes d'espoir, souhaitons que les électeurs américains nous en donne un.
Commentaires
Vous pouvez suivre cette conversation en vous abonnant au flux des commentaires de cette note.