Retour de La Rochelle, où j’ai participé, au sein d’une délégation finistérienne très fournie, à l’université d’été de la Fédération nationale des élus socialistes et républicains et ensuite à celle du Parti Socialiste. Nous étions heureux d’être rassemblés autour de Marc Coatanéa, premier secrétaire fédéral et tout nouveau secrétaire national aux questions de société.
L’ambiance était à la fois à la joie et à la mobilisation. A la joie, car chacun avait en mémoire les excellents résultats de la présidentielle et des législatives. A la mobilisation, car personne n’oubliait l’état de notre pays et l’ampleur des défis qu’il nous faut résoudre.
A ceux qui se plaignaient du rythme des réformes, nous avons rappelé, selon le bon mot de Richard Ferrand, que les 100 jours sont de l’histoire napoléonienne et que seuls les 60 engagements comptent. Nous comptons en engagements, pas en jours. Que serait cette rentrée si François Hollande n’avait pas emporté la présidentielle ? L’allocation de rentrée scolaire n’aurait pas été augmentée, les loyers ne seraient pas bloqués, la TVA sociale s’appliquerait de manière imminente, l’injustice fiscale perdurerait, etc.
Mais nous savons qu’il nous reste encore beaucoup de chemin à parcourir. Il nous faut inscrire notre action dans la durée, en faisant œuvre de pédagogie et sans céder aux impatiences. Pour ce faire, le gouvernement doit pouvoir compter sur un Parti Socialiste rassemblé, travailleur, qui relaye et nourrit le travail législatif. C’est tout l’enjeu de notre congrès de Toulouse et c’est pour œuvrer à cette unité que j’ai souhaité signer la contribution Aubry-Ayrault, Réussir le changement, que je vous invite à découvrir.
La friction, actuellement encore à l'état virtuel, se focalise sur une partie très explicite du projet présidentiel du candidat Sarkozy : l'évolution de la carte scolaire. Celle-ci se verrait assouplie dès la rentrée 2007, en attendant d'être franchement supprimée à la rentrée 2008.
Rédigé par : swiss replica watches | 27 août 2012 à 09:08
Mais nous sommes sure qu'ils ne mettront pas la main dans la poche des plus démunis d'entre nous .
Rédigé par : jacques canevet | 30 août 2012 à 09:50