Vendredi soir, les vœux de la Communauté de Communes ont été l'occasion de fêter les 15 ans révolus de cet Établissement Public de Coopération Intercommunale (EPCI).
Née en 1993, sous la présidence de Guy Savin, la Cocopaq a depuis lors beaucoup grandi.
Son territoire s'est étendu et stabilisé. Il compte aujourd'hui 16 communes pour 53 000 habitants. Ses compétences se sont développées, touchant des domaines de plus en plus divers, à la demande des communes. Les services apportés à la population se sont multipliés, piscines, centres de loisir, colonies, portage de repas à domicile, enlèvement des ordures ménagères, relais assistantes maternelles, point information jeunesse, point d'accueil écoute jeune, etc. Demain, des locaux sortiront de terre, un service de transport à la demande se mettra en place et surtout le Schéma d'Aménagement et de Gestion de l'Eau, tout comme le Schéma de Cohérence Territoriale s'appliqueront.
Ces premiers vœux se déroulaient donc dans un moment particulier, qui est à la fois, en bien des points, un aboutissement mais aussi un nouveau départ. C'était enfin l'occasion de dire, alors que l'idée intercommunale est attaquée, que le couple communes-communauté est aujourd'hui le pivot de notre organisation territoriale.
Vous trouverez ici mon discours.
Je voulais juste dire que je trouve très bien que le Président et le Vice président chargé des finances ait repris à leur compte mon idée de groupement d'achats comme je l'avais évoqué lors du dernier conseil communautaire de 2008.
Il me semble qu'il aurait été pas mal d'indiquer d'où venait l'idée et de montrer ainsi que Quimperlé avait la volonté de travailler dans le bon sens avec la Cocopaq malgré le refus concernant le PAD. Je me permets juste de vous rappeler que vous dites que vous n'étiez pas au courant alors que Bernard Pelleter était là lors de la réunion de décembre.
Rédigé par : Stéphane GUILLEVIN | 26 janvier 2009 à 21:02
Bonsoir,
Pour être tout à fait honnête, je crois que l'idée a été évoquée pour la 1ère fois par Jacques Juloux lors d'un Comité des Maires, mais bon elle est assez classique et ressurgit à chaque mandat j'imagine. L'important est de savoir ce que nous allons en faire et non de l'affecter à telle ou telle ville.
Je crois que si les élus de Quimperlé ne passaient pas leur temps à chercher querelles ou à donner des leçons, nous gagnerions du temps... Faut-il que je vous rappelle les nombreuses réunions ou prises de paroles où vous avez ignoré le Conseil Général, le Conseil Régional ou la Cocopaq ? Ai-je fait un scandale ? Non, car l'important est de savoir ce que fait l'un et ce que fait l'autre.
L'important c'est l'action, au service de l'intérêt général.
Rédigé par : Nicolas | 26 janvier 2009 à 23:33
Si elle ressurgit à chaque mandat pourquoi rien n'a été fait jusqu'à présent. Afin de démontrer la volonté de Quimperlé de travailler dans l'intérêt général contrairement à ce que vous dites j'adresserai des documents permettant d'établir des conventions constitutives de ces groupements. Si le sujet avait été évoqué lors d'un comité des maires, Bernard Pelleter aurait du être au courant et il m'a indiqué lors d'une commission des finances que l'idée lui semblait bonne.
Pour le point d'accès au droit nous avons sollicité le Conseil Général qui a refusé et qui préfère acheter un local à 200 000 euros pour installer des permanences aux conseillers généraux et ne parlons pas des frais de fonctionnement de cette permanence. Ne croyez vous pas sincèrement et honnêtement que ces fonds auraient pu être utilisés à rendre un véritable service à la population et notamment celle en difficulté avec l'administration. Je n'ai pas parlé de scandale dans mon commentaire et je m'étonne de votre commentaire sur notre soi disant volonté de vouloir donner des leçons ou de chercher querelles. PErsonnellement j'ai démontré ma volonté de travailler avec le camp d'en face (propositions à la commission des finances puis en conseil communautaire) intégration de l'opposition dans la commission extra municipale d'accessibilité de Quimperlé et je continuerai car mes convictions sont que l'intérêt général doit être le plus important et qu'il faut savoir faire abstraction des clivages anciens et franchement dépassés.
Rédigé par : Stéphane GUILLEVIN | 27 janvier 2009 à 21:23
Monsieur Guillevin,
1. Ce n'est pas parce que l'idée est bonne qu'elle doit forcément être nouvelle...
2. Confondre les moyens qu'une collectivité met à disposition de ses élus et de leur contact avec les citoyens et le désengagement de l'Etat sur un territoire est assez osé. Je note juste que vous avez osé, ce que j'appelle "chercher querelles".
3. Je vous remercie d'avoir une volonté de travailler dans le sens de l'intérêt général, c'est aussi ce que je fais. Travailler avec tout le monde ? C'est aussi ce que je fais. Dois-je vous rappeler les engagements communaux de mes Vice-présidents ?
En conclusion, croyez-vous que ce débat soit important ? Je ne le crois pas.
Rédigé par : Nicolas | 27 janvier 2009 à 22:29
Vu comme cela effectivement restons en là. Il y aura surement des sujets de débat entre nous lors des prochains conseils communautaires mais l'intérêt général se nourrit également de la diversite des opinions et des visions de la société.
Rédigé par : Stéphane GUILLEVIN | 27 janvier 2009 à 22:47
J'en conviens, bien entendu.
Rédigé par : Nicolas | 27 janvier 2009 à 23:28
Pourquoi tu veux toujours avoir le dernier mot Nicolas ? Ne serait-ce pas un peu d'insolence à ton âge ?
Rédigé par : albert | 29 janvier 2009 à 20:18
Bonsoir Albert,
Désolé de devoir parler à nouveau sur cette liste, mais la règle est de laisser son mail pour commenter sur ce blog.
Rédigé par : Nicolas | 29 janvier 2009 à 20:27