Jeudi 4 décembre, les élus de la Communauté de communes avaient rendez-vous à Arzano pour un conseil communautaire.
J'ai commencé la séance par une mise au point sur l'avenir du CIAL, local communautaire dédié au tourisme et aux loisirs socio-culturels. La commission vie économique et tourisme a voté à l'unanimité, il y a quelques jours, la fin de ce service. Pourtant, cela ne veut pas dire que nous allons solder ce local. Je souhaite, si le Conseil communautaire du 17 décembre en décide ainsi, que nous mettions en place un groupe de réflexion Cocopaq/Commune d'Arzano pour trouver un nouveau projet pour ce bâtiment. En attendant, nous ne vendrons pas.
De nombreux points importants étaient à l'ordre du jour. Certains ont permis à quelques conseillers communautaires de s'illustrer. Des points essentiels : le remboursement de mon déplacement à Montpellier pour le Congrès de l'Adcf ou encore la validation d'un marché de fourniture de gasoil...
Plus sérieusement, je retiens surtout de ce conseil la validation du contrat de gestion des bassins versants du Merrien, Bélon et Aven. Un contrat de plus de 2,5 millions d'euros, qui va nous permettre de continuer à exercer une pression continue pour améliorer la qualité de l'eau et ainsi préserver une conchyliculture performante. Les stations d'épuration en rénovation ou en construction témoignent de la mobilisation des collectivités, mais beaucoup reste encore à faire pour améliorer la bactériologie.
Comme je l'ai indiqué aux conseillers communautaires, nous pourrions considérer comme normal que l'Agence de l'Eau, le Conseil Régional ou encore le Conseil Général nous apportent leur soutien dans ce travail. Pourtant, quand Marcel Jambou, Vice-président de la Cocopaq, a repris le dossier, nous étions à deux doigts de la rupture avec ces partenaires. Il a réussi à les convaincre de notre sérieux et de notre volonté. Au fait, qui était Vice-présidente à ces questions auparavant ?
Avez vous été sollicités par nos partenaires de Nature et Patrimoine Centre Bretagne (NPCB) concernant la méga décharge de Résidus de Véhicule automobiles que la société GDE veut implanter à Plouray.
Cette installation polluante concerne toutes les communes situées sur le bassin versant de l'Ellé et donc une bonne partie de celles de la Cocopaq.
Pour empêcher la concrétisation de ce projet le soutien de tous les élus est nécessaire.
Plus d'information sur le site de CAPAS ou sur celui de NPCB (http://www.npcb.info)
Rédigé par : Petitmaje | 08 décembre 2008 à 08:23